Description

Les tavernes ne sont pas que des lieux sordides ou perversions et abus vont de paires avec détente et beuverie.

La taverne des Anges dansants est un site de détente oui mais également de respect.
La parité y règne et on peut y croiser autant d’hommes que de femmes, du moins aux heures respectables.

Ancienne auberge déjà vaste, elle fut agrandie bien des années auparavant et appartenait à la même famille depuis suffisamment d’années pour que les mémoires des plus anciens ne s’en souviennent plus.
De l’extérieur, il s’agit d’un long bâtiment de terre cuite et de pierres surmonté d’un solide toit et de poutres apparentes (HS : style bâtiment alsacien) au niveau de celui-ci mais aussi de la façade.

A l’intérieur se trouve une vaste pièce servant au service comportant de nombreuses tables pouvant accueillir plus ou moins de personnes, de chaises, bancs et tabourets en bois. Trois cheminées sont visibles afin de permettre aux clients de se réchauffer en hiver.

Un long bar où se tiennent généralement six serveurs ou serveuses tranche avec la pièce pour le service et la grande cuisine.
A l’étage se trouvent quelques chambres pour les voyageurs de passage.

Si les boissons peuvent couler à flot, surtout en cas de grandes occasions (et les plus joyeux savent toujours trouver de bonnes occasions) le soir le plus gros des consommateurs s’avère être des hommes.

Et comment ne pas succomber à la particularité de cette taverne ?
En effet, trois sœurs, des sirènes aux chants envoûtants et aux physiques ensorcelants font régulièrement des spectacles. Certains pensent que le nom de la taverne vient justement du fait que déjà à ses débuts, elle possédait deux anges semblables à ceux-ci, de belles sirènes charmeuses.

Avis aux amoureux du beau sexe : vos plus belles paroles sembleront peut-être les charmer mais ce sont ces demoiselles qui mènent la barque. Si elles vous choisissent ce sera de leur fait et jamais sans préméditation. N’oubliez pas que la légende humaine leur vouait la mauvaise habitude de dévorer leur victime. Vérifiable ?